
7 janvier, 17 vies.Revenir ici après la violence qui nous a coupé le souffle, après le silence. Repousser à toute force cette impression de grand vide qui nous a tous mis K.O., passer outre l'esprit infiniment triste, inquiet et le corps éprouvé. Retrouver ses mots comme d'autres ont retrouvé leurs crayons. Se remettre du choc peu à peu, reprendre confiance et espoir, célébrer la vie, la liberté.
Cabu, pour moi, c'était avant tout le copain farceur et impertinent de Dorothée et de Corbier...
A ma toute petite échelle,...
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