30 décembre 2009
Diane Setterfield, "Le treizième conte"
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Je me dépêchai. A huit heures moins trois, j’étais en chemise de nuit et en pantoufles, à attendre que mon eau veuille bien bouillir. Vite, vite. Huit heures moins une. Il était important de faire vite. Car à huit heures précises, le monde s’arrêtait...